mercredi 9 décembre 2015

Signer blanc - Pascal MALOSSE

Pourquoi je le lis :


Une fois n'est pas coutume, c'est une nouvelle que j'ai choisi de lire ce soir. Le site 1livregratuit.com la proposait pour nous faire découvrir Pascal Malosse et le recueil de nouvelles Parades dont est extrait Signer Blanc.

Le résumé proposé par l'éditeur (voir ci-dessous) me laisse un peu dubitative, mais j'ai lu une critique très enthousiaste sur le site, alors je vais me faire ma propre opinion de ce pas !

_____

 

En résumé (quatrième de couverture) :


Avant de vous lancer dans un tour du monde littéraire et érotique avec le recueil Parades de Pascal Malosse, nous avons extrait cette nouvelle, Signer blanc, qui sera le point de départ de votre périple sensuel et qui vous amènera au Japon dans le seul but d’enivrer en totalité vos sens.

_____

 

Mon avis :


Je n'ai pas été convaincue par cette nouvelle. Ni le style, ni l'histoire ne m'ont séduite... Evidemment, une dizaine de pages, c'est court pour se faire une idée d'un auteur, mais elles ne m'ont pas non plus donné envie de le découvrir davantage.

Pascal Malosse nous offre ici l'image d'un Japon fantasmé, en particulier à travers le personnage d'une femme idéalisée, toute en délicatesse et en soumission, comme une geisha, outil à disposition des hommes. En dehors de cela, le texte est détaché de tout contexte, le personnage principal ne semble avoir ni passé, ni présent, ni attaches d'aucunes sortes si bien qu'il est difficile de s'intéresser à son sort.

________________________________________________

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bonjour,
J'ai l'habitude d'ecrire aux personnes qui ont un jugement negatif sur mes textes. Je respecte les avis, mais je considere avoir aussi que l'auteur a un droit de reponse. Il s'agit en effet d'un texte tres court. Ce genre de courte nouvelle fonctionne (ou pas) grace a la chute. Il ne s'agit pas de creer des personnages et de leur inventer une psychologie, mais de creer un effet a la fin du texte, selon la methode d'Edgar Allan Poe (theorie de l'effet). Il s'agit aussi dans l'erotisme, de s'interesser d'abord aux sens. Votre critique me parait injuste car elle ne prend pas compte du genre dans lequel elle s'inscrit. Si vous etes malgre tout tentee par la suite du recueil, sachez que les 3/4 des nouvelles sont racontees du point de vue de femmes qui ne sont nullement soumises (Ici, la Japonaise a une mission particuliere, je ne dirai pas non plus qu'elle est soumise, c'est au contraire elle qui manipule l'homme).
Bien cordialement
Pascal Malosse

Enregistrer un commentaire