Pourquoi je le lis :
J'ai découvert ce roman grâce à un article sur le blog de ma bibliothèque municipale qui m'a tout de suite donné envie de le lire : humour et romantisme dans l'Angleterre des années 1930, le cocktail idéal pour un bon moment de lecture...
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En résumé (quatrième de couverture) :
Chronique brillante, spirituelle et gaie - émouvante aussi - de l'aristocratie anglaise de l'immédiat avant-guerre, La Poursuite de l'amour forme, avec L'Amour dans un climat froid un diptyque qui valut à Nancy Mitford (1904-1973), non seulement la faveur d'un large public, mais aussi l'admiration profonde d'un Evelyn Waugh comme d'un Henry Green.
Deux jeunes femmes à la poursuite de l'amour, tel est le sujet définitivement intemporel de ce roman. Elles sont cousines germaines et s'aiment tendrement. Autant Fanny se montre prudente et raisonnable dans cette quête, autant Linda, romanesque et sans frein, risque son va-tout chaque fois qu'elle s'éprend d'un homme ! La morale de l'histoire est tirée par Lord Merlin pour qui l'on se trompe toujours quand on est jeune : « L'amour, c'est pour les grandes personnes. »
Avec
ses excentriques, ses belles, ses châteaux et sa campagne - bref tout
ce qui fait le charme pas toujours discret mais éternel, de la verte
Albion -, l'inoubliable fresque des Radlett et des Montdore compte au
rang des joyaux de l'humour anglais.
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Mon avis :
J'ai passé un très bon moment avec ce roman qui a tenu toutes ses promesses même si le romantisme y est franchement tourné en dérision. Le texte est truffé d'un humour typiquement anglais des plus piquants, avec ses personnages hauts en couleur qui attirent tour à tour moqueries ou compassion.
La poursuite de l'amour m'a rappelé à la fois les romans de Jane Austen et ceux de Victoria Clayton. Ce ne sont pas les mêmes styles d'écriture ni la même période, mais on y retrouve beaucoup d'ironie, la gentry anglaise, de grandes demeures peuplées de personnages plus excentriques les uns que les autres, etc.
La poursuite de l'amour m'a rappelé à la fois les romans de Jane Austen et ceux de Victoria Clayton. Ce ne sont pas les mêmes styles d'écriture ni la même période, mais on y retrouve beaucoup d'ironie, la gentry anglaise, de grandes demeures peuplées de personnages plus excentriques les uns que les autres, etc.
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