dimanche 26 février 2017

Comme un conte - Graham JOYCE

Pourquoi je le lis :


De Graham Joyce, j'ai déjà lu : 
 J'aime beaucoup ses romans qui entraînent le lecteur aux frontières de la réalité et du fantastique...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Tara n'avait pas seize ans lorsqu'elle a disparu sans laisser de trace. Son corps n'a jamais été retrouvé, mais dans sa famille, on a fini par se faire à l'idée qu'on ne la reverrait plus. Pourtant, vingt ans plus tard, le soir de Noël, on frappe trois coups à la porte de ses parents. Tara se tient sur le seuil. Une Tara fatiguée, sale, échevelée... mais qui n'a pas vieilli d'une ride. Elle explique sa longue absence par l'appel du voyage, mais les incohérences de son récit laissent son frère et son ancien compagnon sceptiques. 

La vérité qu'elle finit par leur avouer semble plus incroyable encore : elle aurait été enlevée par des fées... Entre amnésie et aliénation, à quel point le fantasme se mêle-t-il à la réalité ?

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Mon avis :


Comme les précédents romans de Graham Joyce, j'ai très vite été prise au piège par l'atmosphère très mystérieuse de Comme un conte. Pendant tout le roman, on se demande si on trouvera une explication rationnelle à l'étrange disparition de cette jeune femme, mais la frontière entre le réel et le fantastique reste trouble et l'auteur maintient un suspense sans faille jusqu'aux toutes dernières pages.

J'avoue que j'ai quand même été un peu déçue par la vision des fées que nous propose l'auteur ; une vision pas si féérique qui évoque davantage une communauté hippie que l'image des elfes ou des fées qu'on a habituellement en tête. Mais cela n'enlève rien à l'atmosphère si particulière du roman qui m'a beaucoup plu.

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Astérix le Gaulois - René GOSCINY & Albert UDERZO

Pourquoi je le lis :


J'ai eu envie de me replonger dans les aventures d'Astérix et Obélix que j'ai lues et relues quand j'étais ado. Je commence donc par le premier album publié, Astérix le Gaulois...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Dans le camp fortifié romain Petibonum, on se pose des questions : comment les irréductibles Gaulois du village d’Astérix font-ils pour ridiculiser encore et toujours la puissance romaine ? Décidé à percer à jour le mystère de la force surhumaine de nos héros, le centurion Caius Bonus envoie un espion déguisé en Gaulois.

C’est Caligula Minus qui s’y colle, et découvre bien vite l’existence de la potion magique préparée par Panoramix. Sans attendre, le centurion Caius Bonus fait enlever le druide pour s’emparer de la recette du fameux breuvage histoire, qui sait, de devenir César à la place de Jules ! Une première occasion pour Astérix de démontrer son courage et ses talents de stratège.

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Mon avis :


Ce premier tome d'Astérix n'est pas mon préféré, loin de là : les personnages n'ont pas encore la "forme" qu'on leur connaît bien, la mise en couleur des planches est assez approximative (du moins dans mon exemplaire) et l'intrigue n'est pas aussi fouillée que dans les albums suivants (mise en place du contexte, des personnages, etc).

Néanmoins, l'humour et l'esprit de la bande dessinée sont déjà là et j'ai passé un très bon moment lors de ces retrouvailles avec un des héros de mon enfance.

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jeudi 23 février 2017

A l'ombre des cerisiers - Dörte HANSEN

Pourquoi je le lis :


C'est la quatrième de couverture qui m'a donné envie de lire ce roman...

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En résumé (quatrième de couverture) :


C’est au printemps 1945 que la petite Vera voit pour la première fois la vieille ferme perdue au cœur d’un immense verger. Sa mère et elle viennent de  traverser à pied une Allemagne en ruines.

Soixante-dix ans plus tard, Vera, qui occupe toujours la maison, voit débarquer à son tour sa nièce, Anne, en pleine rupture amoureuse, et son jeune fils Leon.
  
Les deux femmes, fortes têtes et solitaires, vont affronter ensemble une histoire familiale traversée de secrets et de non-dits.  Sauront-elles redonner vie à ces murs hantés par les chimères du passé ? Pour cela, il faudra d’abord apprivoiser les habitants du village qui ne manquent ni de caractère ni d’originalité...

  
Avec beaucoup de tendresse et un humour mordant, ce premier roman brosse le portrait de deux femmes indépendantes qui vont trouver ce qu’elles ignoraient chercher : une famille.

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Mon avis :



J'ai beaucoup aimé A l'ombre des cerisiers, même s'il y a eu des moments où je me suis demandée où l'auteur voulait nous emmener.

En effet, le roman s'éparpille, aussi bien dans le temps que dans l'espace, et le récit est émaillé des souvenirs du passé aussi bien que des faits et gestes de l'entourage plus ou moins immédiat des deux héroïnes, Vera et Anne. Ce n'est pas inintéressant, loin de là même, car Dörte Hansen croque ses personnages avec beaucoup de justesse et une pointe d'humour, mais il en ressort une impression de dispersion qui m'a parfois laissée dubitative.

Et puis peu à peu, chaque élément trouve sa place, tout comme Vera et Anne qui parviennent à trouver un équilibre malgré leur lourd passé familial. Car A l'ombre des cerisiers, c'est une histoire de "convalescence" où chacun finit par trouver sa place et par oublier, ou au moins digérer un peu, ses traumatismes et ses peurs.

J'ai aussi apprécié que le roman se termine sur une note de tendresse qui insuffle de l'espoir dans l'histoire de ces deux femmes.

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lundi 20 février 2017

Une passion imprévisible - Jessica HART

Pourquoi je le lis :


Comme pour Une passion en Irlande, de Lynne Graham, que je viens de terminer, il s'agit surtout de déterminer si je garde cette romance dans ma bibliothèque ; et comme j'ai toujours du mal à me séparer de mes livres, je préfère le relire une dernière fois pour être bien sûre...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Secrétaire ordonnée et efficace, Summer voit d’un très mauvais œil l’arrivée de Phin Gibson, son nouveau patron. Non seulement elle lui trouve de détestables manières de dilettante, mais elle apprécie peu l’arrogance dont il fait preuve à son égard. Et pourtant… Et pourtant ce comportement, étrangement, éveille chez elle bien d’autres choses que de la colère. Du trouble ? Du désir ? Désorientée, Summer se demande chaque jour davantage pourquoi elle s’intéresse malgré elle à ce patron qui lui correspond si peu…

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Mon avis :


Comme pour Une passion en Irlande, cette relecture ne m'a pas du tout convaincue. Malgré une bonne dose d'humour dans l'opposition entre les deux personnages principaux, il est bien difficile de s'intéresser leur histoire qui aurait mérité d'être davantage développée. En effet l'intrigue, tout comme les personnages, ne sont que rapidement esquissés à grands coups de crayons stéréotypés...

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Une passion en Irlande - Lynne GRAHAM

Pourquoi je le lis :


En faisant du tri dans ma bibliothèque, je suis tombée sur cette romance lue il y a sept ou huit ans. J'ai décidé de la relire avant de décider de la conserver ou non sur mes étagères...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Ruinée par le cynisme de Rafael Cavaliere, homme d'affaires aussi séduisant que glacial, Aleth quitte Londres pour l'Irlande. Là bas, sur la terre de ses ancêtres, elle espère bien se faire une autre vie, heureuse et libre, parmi les chevaux du cottage qu'elle a hérité de sa mère. Mais une bien mauvaise surprise l'attend sur place : en effet, elle découvre que son riche voisin, le propriétaire du manoir et de l'immense domaine qui l'entoure, n'est autre que Rafael Cavaliere lui même. Est ce juste le destin qui ose lui jouer un dernier tour ou bien cet homme odieux prend il un malin plaisir à se mettre toujours en travers de sa route ? Révoltée, furieuse mais déterminée à rester en Irlande, Aleth décide d'ignorer Rafael. Quand il la salue, elle se détourne fièrement. Mais un matin, alors qu'elle fait une promenade à cheval sur la plage, il a le front de l'aborder...

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Mon avis :


Je n'ai pas davantage apprécié Une passion en Irlande que lors de ma première lecture. Outre les personnages un  peu trop caricaturaux, ce sont les péripéties plus improbables les unes que les autres qui m'ont agacée dans ce roman.

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vendredi 17 février 2017

Lexi smart a la mémoire qui flanche - Sophie KINSELLA

Pourquoi je le lis :


Sophie Kinsella fait partie des auteurs de comédies romantiques que j'aime bien. Parmi ses romans, j'ai lu : 

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En résumé (quatrième de couverture) :


Lexi Smart est une fille plutôt normale : vingt-cinq ans, un boulot assez assommant, les dents pas très alignées, le cheveu désespérément terne, quelques kilos en trop, un appart minuscule, un fiancé un peu nul et très fauché et trois super copines avec qui elle fait la fête le vendredi soir.

Un beau matin, Lexi se réveille dans une chambre d'hôpital avec un sourire parfait, une cascade de boucles blondes, une silhouette de sirène, un beau gosse de mari richissime... et une amnésie partielle due à un accident de voiture : trois ans de sa vie viennent de s'effacer, Lexi ne se souvient de rien.
  
Qui est cette snobinarde qui prétend être sa meilleure amie ? Depuis quand Lexi vit-elle dans un loft luxueux ? Pourquoi ses trois copines ne répondent-elles pas à ses appels ? Qu'a-t-elle pu faire à ses collègues pour qu'ils la surnomment le Cobra ? Et qui est ce mystérieux architecte qui la harcèle de messages ?

Pour comprendre comment elle est passée de fille toute simple à garce carriériste, Lexi va devoir fouiller cette parenthèse de trois ans. Et ce qu'elle va découvrir pourrait bien lui donner quelques leçons pour l'avenir... 

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Mon avis :


J'ai adoré Lexi smart a la mémoire qui flanche : c'est drôle, bien écrit et l'héroïne, complètement perdue dans sa vie qu'elle doit redécouvrir, est très attachante. J'ai lu le roman d'autant plus vite que je mourrais d'envie de savoir si l'héroïne, Lexi, allait retrouver la mémoire et comprendre ce qui avait provoqué sa métamorphose en femme d'affaires redoutable.

J'ai aussi beaucoup aimé l'histoire d'amour qui est développée de manière assez originale du fait de l'amnésie de Lexi. J'ai trouvé très touchant qu'elle ait à "retrouver" des sentiments qu'on lui affirme avoir existé alors qu'il n'en reste pas la moindre trace. Se pose alors le problème de la confiance et une question omniprésente dans le roman : qui croire quand on n'a plus aucun repère ?

Le tout traité avec beaucoup d'humour pour un bon petit moment de détente...

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jeudi 16 février 2017

La vie rêvée de Virginia Fly - Angela HUTH

Pourquoi je le lis :


J'ai reçu ce roman grâce aux Masses Critiques du site Babelio et j'en suis d'autant plus heureuse qu'Angela Huth fait partie des auteurs que j'aime beaucoup.

Pour l'instant,  j'ai lu :
Et Quand rentrent les marins patiente dans ma pal...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Souvent, debout face à ses élèves ou allongée sur son lit, Virginia Fly a la vision merveilleuse d’une main d’homme caressant son corps, déclenchant un frisson le long de son épine dorsale. Que ferait-elle si un inconnu apparaissait à la fenêtre, pénétrait dans la pièce et la séduisait ? Car à trente et un ans, Virginia, toujours vierge, vit sagement chez ses parents, dans la banlieue de Londres. Il y a bien son ami Hans, un professeur mélomane, mais ce n’est pas lui qui assouvira ses fantasmes. Non, celui qu’elle attend, c’est Charlie, son correspondant américain, dont la visite s’annonce enfin après douze années d’échanges épistolaires. Seulement cette arrivée coïncide aussi avec la diffusion d’un reportage télévisé sur Virginia, qui se prend à rêver que, parmi les opportunités tout à coup florissantes, il en est une – peut-être le charmant Ulick Brand ? – qui saura combler ses attentes.

La Vie rêvée de Virginia Fly est un roman finement observé, à la fois tendre, un peu cruel et d’un humour malicieux. Écrit en 1972, il est étonnant de modernité.

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Mon avis :



La vie rêvée de Virginia Fly, c'est le portrait doux-amer d'une jeune femme qui n'a pas trouvé sa place dans la société de plus en plus libérale de l'Angleterre des années 1970. Institutrice vivant toujours chez ses parents et encore vierge à plus de trente ans, elle réunit tous les clichés de la vieille fille mais elle ne semble pas malheureuse de cette existence même si elle rêve de grandes passions amoureuses de façon presque obsessionnelle. Le désenchantement n'apparaît que lorsqu'elle se heurte à la réalité (sordide dans son cas) des relations amoureuses.

La plume d'Angela Huth est toujours aussi réjouissante (même si en fait il s'agit d'un de ses tous premiers romans) et j'ai tout particulièrement aimé la façon dont elle croque ses personnages : elle se moque volontiers de leurs travers tout en leur témoignant de beaucoup de tendresse malgré tout.

J'ai beaucoup aimé ce roman, même si l'histoire m'a paru très triste. Car même si certains passages sont franchement drôles, le destin de l'héroïne s'avère pathétique : elle accumule les déceptions et ne semble avoir de choix au final qu'entre deux existence dont elle ne veut pas vraiment, comme si elle n'était pas maîtresse de sa vie.




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lundi 13 février 2017

Un soupçon d'interdit - Françoise BOURDIN

Pourquoi je le lis :


C'est une relecture...

Parce que j'aime bien ce qu'écrit Françoise Bourdin et ce roman-ci est l'un de mes préférés...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Veuve depuis bientôt dix ans, Daphné continue à se rendre chaque année à la Jouve, la propriété de sa belle-famille, près de Montpellier. Les années passent mais elle reste très attachée à Maximilien et Nelly, les parents, ainsi qu’à Ève, Béatrice, Vladimir et Dimitri, les frères et sœurs. Quelques jours ensemble pour se souvenir d’Ivan et, peut-être, tenter d’élucider les mystères qui entourent encore sa mort. Un décès accidentel, soudain, tragique, après une dispute sans précédent. Que s’est-il réellement passé ce jour-là ?

Quelques jours aussi aux côtés de Dimitri, son confident, son ami. Une tendresse mutuelle qui pourrait laisser place peu à peu à d’autres sentiments…

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Mon avis :


Comme lors de ma première lecture, j'ai beaucoup aimé Un soupçon d'interdit qui nous raconte une belle histoire de famille.

Et au centre de cette histoire, il y a une maison qui bourdonne de vie et qui est l'objet des préoccupations de tous lorsque la crise éclate. Une maison comme on aimerait en avoir une, chaleureuse et accueillante, un véritable refuge pour chacun, presque un personnage à part entière dans le roman.

Autre personnage d'importance : le patriarche, Maximilien, qui n'apparaît pas comme la figure paternelle protectrice à laquelle on pourrait s'attendre à la tête d'une telle tribu mais comme un homme égocentrique au point de mettre en péril le bel équilibre de la famille. Et malgré son caractère méprisable, on adore le détester.

Cependant, ce que j'ai plus le plus apprécié dans Un soupçon d'interdit, comme souvent dans les romans, c'est l'histoire d'amour entre Dimitri et Daphné. Je les ai trouvés très touchants avec leurs doutes, leurs inquiétudes et leur lent cheminement vers l'acceptation de sentiments qui leur semblaient déplacés.

J'ai donc passé un très bon moment avec ce joli roman.

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Stranded with the rancher - Janice MAYNARD

Pourquoi je le lis :


Ce roman faisait partie d'un lot de livres gratuits destinés à faire découvrir les différentes collections Harlequin.

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En résumé (quatrième de couverture) :


For billionaire horse breeder Drew Farrell, the day starts with the usual argument with ornery neighbor Beth Andrews. But within minutes he and the irritating beauty are huddled together in a storm cellar praying for their lives. They call a truce…and seal it with an unexpected kiss.

They emerge to a scene of utter devastation. Their passion to rebuild is only rivaled by the very personal passion they've just discovered…until Beth's past catches up with her and a very different type of storm erupts…

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Mon avis :


Stranded with the rancher a été une lecture assez agréable même si certains passages manquent un peu de crédibilité à mon avis.

L'histoire commence de façon assez originale avec un ouragan qui emprisonne les deux héros dans une cave et détruit leur ville en grande partie, puis l'intrigue retrouve la trame habituelle des romances Harlequin, avec un homme très riche et très beau qui vient au secours d'une pauvre demoiselle en détresse, mais très séduisante... Je me moque, mais ce n'est pas si mal raconté...

Enfin bref, une romance tout ce qu'il y a de plus classique pour un bon petit moment de détente.

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samedi 11 février 2017

Central Park - Guillaume MUSSO

Pourquoi je le lis :


Comme pour La fille de Brooklyn, c'est ma sœur qui m'a prêté ce roman en me le recommandant très chaudement...

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En résumé (quatrième de couverture) :


New York, 8 heures du matin.

Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l'un à l'autre sur un banc de Central Park.

Ils ne se connaissent pas et n'ont aucun souvenir de leur rencontre. La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin.

Impossible ?

Et pourtant... 

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Mon avis :


Comme d'habitude, Guillaume Musso nous livre ici une lecture palpitante, au suspense sans faille et à la plume très agréable.

C'est la situation de départ et l'impossibilité de l'expliquer de manière rationnelle qui m'ont donné envie de lire ce roman et qui m'ont fait tourner les pages alors que le mystère s'épaississait au lieu de de s'éclaircir. Du coup je me suis sentie un peu flouée par l'explication apportée (tout n'était qu'une mise en scène de Gabriel pour aider Alice à accepter l'idée qu'elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer). C'est une très belle idée, mais difficile à croire (vol de voiture, poursuite par la police, etc : tout ça pour une mise en scène thérapeutique ?) et je n'ose imaginer ce qu'a pu ressentir Alice à être ainsi manipulée...

Par contre le dernier chapitre m'a beaucoup plu avec son bel optimisme pour un avenir heureux malgré la maladie.

En dépit de l'impression de m'être un peu fait duper évoquée plus haut, j'ai passé un bon moment avec Central Park.

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vendredi 10 février 2017

La carapace de la tortue - Marie-Laure HUBERT NASSER

Pourquoi je le lis :


C'est une critique sur le blog Les lectures de Meuraie qui m'a donné envie de lire ce roman à la couverture rigolotte...

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En résumé (quatrième de couverture) :

"Oui, je suis venue sur terre comme une tortue, encombrée d'une carapace. Qui rentre la tête quand le monde extérieur est trop douloureux".

Clotilde cache ses complexes derrière d'amples vêtements. Après avoir tenté sa chance à Paris, cette jeune Bordelaise revient au pays grâce à sa grand-tante. Sous des dehors revêches, Thérèse a prévu pour sa petite-nièce un strict programme de remise en forme. Avec l'aide de tous les voisins qui ont au préalable passé un casting impitoyable, Clotilde devra sortir de sa réserve. Il y a Claudie qui aime raconter ses histoires de fesses, Sarah et Sophie, délaissées par leur mari et bien décidées à s'en accommoder, Elisabeth, la business woman meurtrie de ne pas voir grandir ses trois enfants... Chacun à sa façon va aider Clotilde à reprendre goût à la vie.

Une galerie de portraits attachante, l'histoire d'une renaissance racontée avec énergie et un humour parfois corrosif.

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Mon avis :


J'ai été très déçue par cette lecture. J'imaginais quelque chose de plus léger, de plus chaleureux que je n'ai à aucun moment trouvé dans La carapace de la tortue.

Je n'ai pas aimé la façon dont l'auteur représente ses personnages, de manière presque caricaturale, sans compter la vision extrêmement négative qu'elle donne de son héroïne. D'ailleurs une fois qu'on arrive au journal de Clotilde, on perd de vue la plupart des personnages évoqués dans la première partie du roman.

Et le dénouement... pouah ! D'un pessimisme affligeant : tuer son héroïne alors qu'elle commence tout juste à s'en sortir... Et pour ne rien arranger, le style de Marie-Laurence Hubert Nasser, syncopé et trop bavard, n'était pas à mon goût non plus.

J'avoue que, dépitée, j'ai lu la seconde moitié de La carapace de la tortue en diagonale, pressée de passer à autre chose. C'est dommage car à la lecture de la quatrième de couverture, j'imaginais ce roman parfait pour moi...

Comme la grande majorité des critiques sur Internet sont élogieuses, je suppose que c'est juste moi qui ne suis pas le bon public pour cette histoire. 


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mercredi 8 février 2017

My favorite mistake - Chelsea M. CAMERON

Pourquoi je le lis :


Une promo sur Internet, une quatrième de couverture sympa...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Taylor est furieuse. Comment l’université a-t-elle pu lui imposer de partager sa minuscule chambre d’étudiante avec un colocataire homme ? Et pas n’importe lequel : Hunter Zaccadelli.

Un bad boy tatoué, terriblement sexy, qui joue de la guitare comme un dieu et qui ne perd pas une occasion de lui dire à quel point il a envie d’elle. Autrement dit, le genre de type trop beau et trop sûr de lui, à fuir comme la peste sous peine de tomber amoureuse et de souffrir atrocement. Elle n’a donc qu’une solution : tout faire pour qu’il déménage, avant qu’il soit trop tard… 

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Mon avis :


Je me doutais déjà que ce genre de romances n'était pas pour moi, mais comme on ne peut pas vraiment juger quand on en a jamais lu, j'ai voulu tenter l'expérience et cela n'a pas été très concluant...

Ce n'est pas mal écrit et cela se lit très facilement, mais le fond m'a très vite horripilée. Déjà, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et j'ai même parfois cru avoir raté des pages, surtout en début de roman, parce que ce que disait Taylor (l'héroïne) à propos de Hunter (son "héros") ne correspondait pas vraiment à ce que j'avais lu.

J'ai aussi eu l'impression d'assister aux chamailleries de deux adolescents plutôt qu'à l'affrontement promis en quatrième de couverture (d'ailleurs le bad boy évoqué, c'est juste un garçon avec des tatouages et transi d'amour, ou de désir, pour sa colocataire au point de faire ses quatre volontés). Et cela ne s'arrange pas une fois qu'ils sont ensemble : l'auteur nous décrit une relation idéalisée, très mignonne, mais où tout est bien qui finit tellement bien que ce n'est plus crédible.

D'autre part, Chelsea M. Cameron suggère très fortement dès les premières pages que ses deux personnages principaux ont subi de grands malheurs par le passé, mais après tout le temps qu'elle passe en sous-entendus et autres allusions avant de dire clairement ce qui leur est arrivé de si terrible, la grande révélation tombe un peu à plat ; et ce d'autant plus que Hunter est "passé à autre chose" et que le traumatisme de Taylor semble s'évaporer d'un coup, ou presque.

Enfin bref, je pourrais continuer à énumérer ce qui ne m'a pas plu dans My favrite Mistake, mais je vais juste dire que je n'ai pas aimé.

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dimanche 5 février 2017

Compromise - Judith McNAUGHT

Pourquoi je le lis :


Je faisais du rangement dans ma bibliothèque et, avant de décider de son sort, j'ai eu envie de relire cette romance dont ma dernière lecture remonte à une dizaine d'années...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Bouleversée par la tendresse de Charles Thornton, Elizabeth s’abandonne aux délices d’un baiser passionné… et en oublie même qu’elle est fiancée ! Thornton, qui lui promet de l’épouser, ne tarde pourtant pas à lui montrer son vrai visage. Vil aventurier, il espère juste l’attirer dans son lit. D’ailleurs, quand il apprend qu’elle n’a pas le sou, il a change aussitôt d’avis.

Deux ans plus tard, Elizabeth revient à Londres. Quelle surprise : Thornton est l’un des prétendants à sa main ! Jamais elle ne reverra l’odieux coureur de jupons qui l’a compromise. Or son cœur, lui, ne peut l’oublier…

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Mon avis :


C'est une romance historique tout ce qu'il y a de plus classique : le XIXème siècle anglais, la saison à Londres, des manoirs à la campagne, un héros sombre et mystérieux, une héroïne "pleine de personnalité" contrainte de se plier aux exigences de la société et de ses conventions trop rigides... Tous les ingrédients habituels sont réunis et, même s'il manque sans doute une touche d'originalité au roman, j'ai passé un bon moment avec Compromise.

Toutefois, les cent dernières pages sont de trop à mon avis : à vouloir trop en faite côté drame et grands sentiments amoureux, l'auteur gâche un peu la bonne impression laissée par le reste du roman.

Après ce moment de lecture bien agréable par un dimanche pluvieux et venteux, il semble évident que Compromise restera encore quelque temps dans ma bibliothèque, peut-être même jusqu'à une prochaine relecture...

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samedi 4 février 2017

Giboulées de soleil - Lenka HORNAKOVA-CIVADE

Pourquoi je le lis :


C'est d'abord le titre, si joliment poétique, qui m'a plu...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Elles s’appellent Magdalena, Libuše, Eva. Elles sont belles, elles sont Tchèques et partagent le même destin : de mère en fille, elles naissent de père inconnu. De cette malédiction elles vont faire une distinction. Chacune à sa façon, selon sa personnalité, ses rêves, ses lubies et l’époque. Car leur vie, qu’elles voudraient simplement fière et libre, se transforme en saga dans ce pays bousculé par l’Histoire. Magdalena connaîtra l’annexion nazie, Libuše les années camarades et Eva la fin de l’hégémonie soviétique. Ingénieuses, modestes et décidées, les trois femmes s’adaptent au changement et défient l’opinion tête haute.

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Mon avis :


J'ai beaucoup aimé l'écriture élégante et toute en délicatesse de Lenka Hornakova-Civade qui prête si bien sa voix à ces trois femmes. Elle nous raconte l'histoire très touchante d'une lignée de femmes pas tout à fait comme les autres car toutes filles sans père et assumant ce destin la tête haute, essentiellement grâce à la matriarche, Marie, omniprésente, solide et maternelle à la fois avec tout son petit monde.

L'histoire de cette famille de femmes est fortement marquée par l'Histoire avec un grand H, celle des guerres et de la politique (ici les suites de la seconde guerre mondiale, la montée du communisme...) : l'auteur entremêle les deux trames avec talent, nous faisant découvrir de l'intérieur la Tchécoslovaquie des années 1940 à 1980.
 
J'aurais quand même un tout petit reproche à formuler : le titre, Les giboulées de soleil, induit en erreur, évoquant des choses plus légères alors qu'il s'agit ici d'une lecture profondément émouvante.

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vendredi 3 février 2017

L'Entre-Deux-Mers - Antoine LEBEGUE et Jacques GAYE

Pourquoi je le lis :


J'ai reçu ce beau livre grâce aux Masses Critiques du site Babelio...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Entre Garonne et Dordogne s’étend un territoire aux paysages vallonnés qui abritent de nombreux pays ayant chacun leur identité. D’Ambès à Monségur, en passant par Créon et Sauveterre-de-Guyenne, ce livre vous propose de partir à la découverte de la personnalité profonde de ces territoires qui vous révéleront leurs trésors, parfois cachés.

Au fil des pages apparaîtront des bastides, églises romanes, moulins, maisons fortes, châteaux, allées couvertes qui dévoilent un passé extrêmement riche et remontant au néolithique. Mais aussi des univers industriels tournés vers l’avenir et des phénomènes naturels parfois étonnants comme le mascaret, cette grande vague venue de l’estuaire avec la marée et remontant les deux fleuves.
 
Terre attachée à ses traditions, l’Entre-deux-Mers, qui a inspiré des écrivains comme Mauriac, attire aujourd’hui de plus en plus de nouveaux habitants. Par le texte et l’image, ce livre vous fera comprendre pourquoi.

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Mon avis :


Dans ce très beau livre, les textes laissent la part belle aux nombreuses photos qui nous font pénétrer dans cette magnifique région de l'Entre-Deux Mers.

Au fil des pages, les auteurs passent en revue, terroir par terroir, l'histoire, l'architecture, la géographie, les traditions agricoles, culturelles, etc ; tout ce qui a façonné au cours des siècles les paysages si contrastés de l'Entre-Deux Mers.

Pour être tout à fait honnête, je me suis surtout intéressée aux photos, ne lisant que les articles qui attiraient mon attention, mais cela reste un beau livre richement illustré qui donne envie de partir...



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mercredi 1 février 2017

La chaloupe - tome 2 - L'aventurine - Janine BOISSARD

Pourquoi je le lis :


C'est la suite du talisman que je viens de lire...

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En résumé (quatrième de couverture) :


C'était la maison du bonheur. Julie, Zabelle, Bobine et Brune la laisseront-elle devenir celle de la vengeance ?

Certainement pas.
   
Zabelle est directement menacée, Brune atteinte dans ce qu'elle a de plus cher, Bobine et Julie prises dans les remous du cœur.
  
Elles décideront pourtant d'affronter ensemble la tempête qui se prépare. Sinon cela voudrait dire quoi, l'amitié ?

C'est Brune la plus déterminée. Sans doute parce que, dernière en date des "mousquetaires", elle a moins peur de se découvrir une vérité peut-être bien amère. Sans doute aussi parce qu'elle a le don de sentir les phénomènes surnaturels...
              
Mais quel est ce bateau au nom de pierre magique, l'Aventurine, qui croise autour île ? Qui se cache à son bord, préparant le plus infernal des pièges ?
   
C'est une solidarité sans faille qui permettra à nos quatre mousquetaires, aidés par l'héroïque Jocelyn, de libérer les murs de la Chaloupe du maléfice qui s'y est attaché. 

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Mon avis :


Comme le premier tome de La Chaloupe, Le Talisman, L'aventurine se lit très facilement grâce à la plume très énergique de Janine Boissard qui nous entraîne dans un récit sans temps mort.

Ce second tome m'a cependant un peu moins plu, car l'intrigue policière prend le pas sur le reste et l'atmosphère s'assombrit beaucoup. J'ai malgré tout beaucoup aimé retrouver les quatre amies et les suivre dans leurs péripéties entre Nantes et Mauves tandis que le mystère s'épaissit et la menace se concrétise.

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