Pourquoi je le lis :
C'est une critique sur le blog Les lectures de Meuraie qui m'a donné envie de lire ce roman à la couverture rigolotte...
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En résumé (quatrième de couverture) :
"Oui, je suis venue sur terre comme une tortue, encombrée d'une
carapace. Qui rentre la tête quand le monde extérieur est trop
douloureux".
Clotilde cache ses complexes derrière d'amples vêtements. Après avoir tenté sa chance à Paris, cette jeune Bordelaise revient au pays grâce à sa grand-tante. Sous des dehors revêches, Thérèse a prévu pour sa petite-nièce un strict programme de remise en forme. Avec l'aide de tous les voisins qui ont au préalable passé un casting impitoyable, Clotilde devra sortir de sa réserve. Il y a Claudie qui aime raconter ses histoires de fesses, Sarah et Sophie, délaissées par leur mari et bien décidées à s'en accommoder, Elisabeth, la business woman meurtrie de ne pas voir grandir ses trois enfants... Chacun à sa façon va aider Clotilde à reprendre goût à la vie.
Une galerie de portraits attachante, l'histoire d'une renaissance racontée avec énergie et un humour parfois corrosif.
Clotilde cache ses complexes derrière d'amples vêtements. Après avoir tenté sa chance à Paris, cette jeune Bordelaise revient au pays grâce à sa grand-tante. Sous des dehors revêches, Thérèse a prévu pour sa petite-nièce un strict programme de remise en forme. Avec l'aide de tous les voisins qui ont au préalable passé un casting impitoyable, Clotilde devra sortir de sa réserve. Il y a Claudie qui aime raconter ses histoires de fesses, Sarah et Sophie, délaissées par leur mari et bien décidées à s'en accommoder, Elisabeth, la business woman meurtrie de ne pas voir grandir ses trois enfants... Chacun à sa façon va aider Clotilde à reprendre goût à la vie.
Une galerie de portraits attachante, l'histoire d'une renaissance racontée avec énergie et un humour parfois corrosif.
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Mon avis :
J'ai été très déçue par cette lecture. J'imaginais quelque chose de plus léger, de plus chaleureux que je n'ai à aucun moment trouvé dans La carapace de la tortue.
Je n'ai pas aimé la façon dont l'auteur représente ses personnages, de manière presque caricaturale, sans compter la vision extrêmement négative qu'elle donne de son héroïne. D'ailleurs une fois qu'on arrive au journal de Clotilde, on perd de vue la plupart des personnages évoqués dans la première partie du roman.
Et le dénouement... pouah ! D'un pessimisme affligeant : tuer son héroïne alors qu'elle commence tout juste à s'en sortir... Et pour ne rien arranger, le style de Marie-Laurence Hubert Nasser, syncopé et trop bavard, n'était pas à mon goût non plus.
J'avoue que, dépitée, j'ai lu la seconde moitié de La carapace de la tortue en diagonale, pressée de passer à autre chose. C'est dommage car à la lecture de la quatrième de couverture, j'imaginais ce roman parfait pour moi...
Comme la grande majorité des critiques sur Internet sont élogieuses, je suppose que c'est juste moi qui ne suis pas le bon public pour cette histoire.
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