Pourquoi je le lis :
J'ai lu ce roman, le premier d'Helen Fielding, il y a une douzaine d'années et je l'avais adoré (encore plus que Bridget Jones, je crois).
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En résumé (quatrième de couverture) :
" Si seulement on avait un cerveau lavable. Incroyable, le nombre de fois où j'ai eu envie de me décalotter le crâne, comme on décalotte un œuf pour sortir mon cerveau et le rincer sous le robinet comme une éponge sale. Comme l'option de ce lavage de cerveau m'était impossible, je me suis mise à envisager le voyage en Afrique comme une échappatoire. "
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Rosie Richardson en a marre, marre, marre. Marre de son boulot de
publiciste. Marre de ses contacts avec la Jet Set frivole, marre de la
calamité qui s'est abattue sur elle : être tombée amoureuse folle d'un
homme mégalo et caractériel.
Alors un jour, elle décide de tout plaquer et part pour un camp de
réfugiés, en Afrique. Devant la menace de famine, elle fait appel à ses
anciens amis acteurs pour lever des fonds et provoque une juxtaposition
incongrue entre les paillettes du show-business et la misère du tiers
monde. Tout le monde en prend pour son grade, Rosie la première.
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Mon avis :
Comme lors de ma première lecture de ce roman, j'ai passé un très bon moment et j'ai tout particulièrement apprécié le personnage de Rosie, une jeune femme émouvante, qu'on a parfois envie de secouer pour lui ouvrir les yeux, mais qui finalement se débrouille très bien toute seule.
Outre cette héroïne attachante, le charme du livre tient surtout au profond décalage entre la situation dramatique des réfugiés que j'ai trouvé très bien décrite et le comportement ridicule des stars qui apporte une note de légèreté au récit.
Je maintiens : je préfère Cause céleb' à Bridget Jones...
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