jeudi 1 octobre 2015

La geste du sixième royaume - Adrien TOMAS

Pourquoi je le lis :


C'est le titre qui a d'abord attimon attention sur ce roman : "la geste" m'a rappelé les cours de littérature et les récits épiques du Moyen-Age.

Malgré la couverture qui me fait craindre une histoire peut-être trop guerrière ou virile à mon goût, la quatrième de couverture et plus encore les personnages qui y sont évoqués attisent vraiment ma curiosité...

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En résumé (quatrième de couverture) :


Les Cinq Royaumes : des nations turbulentes et ambitieuses souvent en guerre. Au cœur des terres, un sixième royaume : la Grande Forêt légendaire, impénétrable et hostile. Dans les maisonnées de Sélénir, dans les cases de Val ou dans les yourtes des nomades des steppes de Khara, le soir au coin du feu, on raconte aux enfants la légende suivante : tes rêves, tes cauchemars comme les créatures fantastiques des contes que tu aimes tant peuplent le sixième royaume. 
 
Alors, pourquoi un baladin perdu, une belle sorcière aux terribles pouvoirs endormie depuis cinq cents années, un jeune voleur des rues amoureux, un demi-nain commerçant débonnaire et un homme-loup monstre de foire se retrouvent attirés par la Grande Forêt ? 
 
Que découvriront-ils ? La fin d'un monde ? Le sang et les larmes ? L'amour et la tragédie ?
 
La Geste du sixième royaume raconte avec un rythme effréné les destinées de ces héros malgré eux, semées d'embûches, de pièges, de doutes, de découvertes incroyables et de magies insaisissables.

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Mon avis :


Ma bonne impression de départ s'est tout de suite confirmée. Dans La geste du sixième royaume,  l'auteur propose une histoire riche en péripéties truffée de jolies trouvailles, avec par exemple une vision nouvelle des êtres surnaturels que l'on croise habituellement dans les romans de fantasy (loups-garous, elfes, dragons, etc) et une intrigue moins manichéenne que la traditionnelle lutte du Bien contre le Mal...

Malgré ses qualités évidentes, j'ai fini par m'ennuyer avec La geste du sixième royaume : les personnages et les points de vue se multiplient si bien que mon intérêt s'est émoussé peu à peu. En plus, l'éditeur ne nous a pas facilité la lecture en choisissant un format très compact, avec une typographie si serrée que j'avais l'impression de ne pas avancer tandis que l'intrigue piétinait un peu. Les pavés ne me font pas peur d'habitude, mais cette fois les 500 pages (seulement !) de celui-ci m'ont eue à l'usure et j'ai fini par jeter l'éponge peu après la moitié du roman.

C'est vraiment dommage, car il y avait beaucoup de potentiel...

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