Pourquoi je le lis :
Il y avait longtemps que je n'avais pas lu de roman de Belva Plain et la quatrième de couverture de celui-ci m'a donné envie de me replonger dans l'univers de cet auteur.
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En résumé (quatrième de couverture) :
Dans la lignée d'Autant en emporte le vent, la redécouverte d'une fresque bouleversante, pleine de souffle, d'aventures et d'amour, par celle qui restera à jamais la reine de la saga.
Fille d'un marchand bavarois venu faire fortune en Amérique, Miriam a été élevée dans les fastes de la meilleure société créole ; une éducation choyée qui l'a naturellement conduite à épouser, à seize ans à peine, le richissime planteur Eugene Mendes.
Mais tous les ors de leur sublime propriété de Beau-Jardin ne sauraient cacher une réalité beaucoup plus sombre : Eugene est un homme distant et irascible ; Miriam s'enfonce chaque jour un peu plus dans le désespoir, allant chercher réconfort et tendresse dans les bras d'un autre.
Et quand éclate la guerre de Sécession, la belle se retrouve face à un terrible dilemme : son frère adoré rejoint le camp nordiste, tandis que l'homme qu'elle aime combat aux côtés des confédérés...
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Mon avis :
Je ne suis pas arrivée au bout de ce roman qui semblait pourtant tout avoir pour me plaire. J'ai persévéré un peu au-delà de la moitié du livre, mais je m'ennuyais trop pour m'acharner davantage. Ce n'est pas mal écrit et le sujet est intéressant, mais les personnages m'ont semblé à la fois trop insipides et stéréotypés pour que j'arrive à m'intéresser très longtemps à leur sort...
Les cèdres de Beau-Jardin m'aura par contre donné envie de relire sans trop tarder Autant en emporte le vent qui est cité dans la quatrième de couverture et qui surpasse très largement le texte de Belva Plain.
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