Pourquoi je le lis :
Il s'agit du cinquième tome de la série Les enfants de la terre, le dernier qu'il me reste à relire avant de découvrir le sixième tome inédit...
Pour mémoire :
_____
En résumé (quatrième de couverture) :
Le long périple d'Ayla et de Jondalar touche à son terme. Après un voyage épique à travers l'Europe, les deux héros de la grande saga Les enfants de la terre, arrivent à l'emplacement de la Neuvième Caverne, un camp de l'âge de pierre situé dans ce que l'on appellera de nombreux millénaires plus tard le Périgord. C'est là que Jondalar retrouve la tribu qui l'a vu naître, et qui se réjouit de son retour.
L'accueil fait à l'étrangère qui l'accompagne est plus mitigé. Cette femme parle avec un accent curieux et, surtout, est suivie par un loup et deux chevaux sur lesquels elle exerce un pouvoir troublant. Mais, si la rescapée du Clan étonne les Zelandonii, ceux-ci la surprennent tout autant par leur façon de vivre dans leurs confortables abris-sous-roche et par la splendeur des peintures dont ils ornent leurs grottes.
Alors qu'elle donne naissance à un enfant très attendu, la jeune femme prend conscience du rôle qu'elle est appelée à jouer dans la destinée des Zelandonii...
Dans ce cinquième volume de sa somptueuse saga préhistorique, Jean Auel puise de nouveau dans ses connaissances scientifiques pour décrire avec son immense talent de conteuse les débuts de l'agriculture et de la domestication des animaux, ainsi que ce tournant dans l'histoire de l'humanité que représenta la maîtrise de la pensée abstraite, du langage et de l'art.
_____
Mon avis :
à venir...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire