Pourquoi je le lis :
Christian Signol est un auteur prolifique, dont je n'ai lu que deux ou trois romans qui ne m'ont laissé qu'un souvenir flou, ce qui explique sûrement que je n'en ai pas lu davantage.
L'intrigue de celui-ci a capté mon attention et c'est donc l'occasion de renouer avec cet auteur.
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En résumé (quatrième de couverture) :
En 1942, dans le département de la Dordogne, la ligne de démarcation croise le cours de l’Isle. La ferme des Laborie est à deux pas de la rivière et Virgile, n’écoutant que son coeur, ne refuse jamais sa barque à ceux qui tentent de passer en zone libre. Lorsqu’on propose à Virgile et à Victoria qui n’ont jamais pu avoir d’enfants, de cacher Sarah et Elie, deux gamins juifs perdus dans la tourmente, ils accueillent les petits réfugiés comme un don du ciel. Au fil des jours, malgré les trahisons, les dénonciations, les contrôles incessants, la Résistance s’organise dans le Périgord jusqu’aux reflux des troupes allemandes dans le sang et la terreur.
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Mon avis :
Un beau texte pour une chronique de "l'héroïsme ordinaire".
Le contraste entre l'attitude bienveillante et courageuse des Laborie (car c'est une évidence pour eux d'aider leur prochain, qui qu'il soit) et les horreurs perpétrées autour d'eux est saisissant. Le dénouement, tragique, est très émouvant.
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