Pourquoi je le lis :
J'ai découvert Nicholas Evans avec Le cercle des loups, un roman qui m'a captivée. Je n'ai donc pas hésité à lire L'homme qui murmure à l'oreille des chevaux quand j'en ai eu l'occasion (que j'ai préféré et de loin à l'adaptation cinématographique...) et comme j'ai adoré aussi, je continue depuis à lire tous les nouveaux romans de Nicholas Evans.
Celui-ci attends depuis quelque temps déjà sur les étagères de ma bibliothèque que je prenne le temps...
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En résumé (quatrième de couverture) :
Rejeté par des parents trop âgés, enfermé dans un horrible pensionnat, Tom Bedford pourrait être un personnage de Dickens. Son seul échappatoire : rêver de cowboys et d’Indiens. Le jour où Diane, sa sœur aînée et star montante du cinéma, épouse Ray Montane, acteur vedette d’une série western, tout semble alors s’éclairer pour le petit garçon qui part rejoindre le couple en Amérique. Mais à Hollywood, le bonheur est souvent de courte durée… Il faudra bien des années et un nouveau drame pour que Tom se résolve enfin à affronter ses démons, ses blessures invisibles…
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Mon avis :
J'ai adoré Les blessures invisibles : les personnages, l'intrigue, l'écriture, tout !
Le roman est constitué d'une double intrigue, avec le même personnage central à quarante ans d'écart, à deux moments cruciaux de son existence. Malgré cette construction complexe à première vue, le style est très fluide, la lecture agréable.
Tout au long du récit, la tension monte inexorablement, par petites touches, et elle est d'autant plus palpable que le prologue annonce le dénouement d'une des intrigues. On sait qu'il va se passer quelque chose de terrible, on pense même deviner ce dont il s'agit, mais ce serait trop simple...
Nicholas Evans dépeint dans son roman des Etats-Unis en demi-teinte, entre rêve américain (illustré par ses héros emblématiques : les cow-boys, les marines, les stars de cinéma, etc) et désillusion (l'univers artificiel d'Hollywood, dysfonctionnements de l'armée, le sort des Amérindiens, le béton qui empiète toujours davantage sur les espaces naturels,...). On retrouve aussi en arrière-plan les thèmes de prédilection de Nicholas Evans : la nature, les grands espaces, les chevaux...
Le roman est constitué d'une double intrigue, avec le même personnage central à quarante ans d'écart, à deux moments cruciaux de son existence. Malgré cette construction complexe à première vue, le style est très fluide, la lecture agréable.
Tout au long du récit, la tension monte inexorablement, par petites touches, et elle est d'autant plus palpable que le prologue annonce le dénouement d'une des intrigues. On sait qu'il va se passer quelque chose de terrible, on pense même deviner ce dont il s'agit, mais ce serait trop simple...
Nicholas Evans dépeint dans son roman des Etats-Unis en demi-teinte, entre rêve américain (illustré par ses héros emblématiques : les cow-boys, les marines, les stars de cinéma, etc) et désillusion (l'univers artificiel d'Hollywood, dysfonctionnements de l'armée, le sort des Amérindiens, le béton qui empiète toujours davantage sur les espaces naturels,...). On retrouve aussi en arrière-plan les thèmes de prédilection de Nicholas Evans : la nature, les grands espaces, les chevaux...
Avec en plus des personnages attachants, tous les ingrédients sont réunis pour passer un excellent moment de lecture.
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