Pourquoi je le lis :
On ne présente plus le prix Goncourt 2012 que je prends enfin le temps de lire...
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En résumé (quatrième de couverture) :
Dans un village corse perché
loin de la côte, le bar local est en train de connaître une mutation
profonde sous l'impulsion de ses nouveaux gérants. A la sur-prise
générale, ces deux enfants du pays ont tourné le dos à de prometteuses
études de philosophie sur le continent pour, fidèles aux enseignements
de Leibniz, transformer un modeste débit de boissons en "meilleur des
mondes possibles". Mais c'est bientôt l'enfer en personne qui s'invite
au comptoir, réactivant les blessures anciennes d'êtres assujettis à
d'indigents rêves de bonheur et victimes, à leur insu, de la tragique
propension de l'âme humaine à se corrompre.
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Mon avis :
L'écriture de Jérôme Ferrari est très belle malgré des phrases très (trop ?) longues qui compliquent la lecture. Je me suis ainsi régulièrement laissée porter par le texte jusqu'à en perdre le fil de l'histoire. Histoire qui se veut une illustration moderne du Sermon sur la chute de Rome de Saint Augustin et à laquelle je n'ai pas accroché plus que ça (peut-être à cause des phrases trop longues où je me suis agréablement perdue...).
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