Pourquoi je le lis :
Comme beaucoup d'autres lectrices de la blogosphère, je me laisse tenter par cette jolie promesse : L’homme idéal existe...
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En résumé (quatrième de couverture) :
Bonne nouvelle : l’homme idéal existe !
Il ne parle pas : il jase. Il n’embrasse pas : il frenche.
Il ne se déshabille pas : il se criss à poèlle.
Vous l’aurez deviné : il est Québécois.
Diane Ducret rhabille le mythe du Prince Charmant.
L’homme idéal ? Satisfaite ou remboursée !
Il ne parle pas : il jase. Il n’embrasse pas : il frenche.
Il ne se déshabille pas : il se criss à poèlle.
Vous l’aurez deviné : il est Québécois.
Diane Ducret rhabille le mythe du Prince Charmant.
L’homme idéal ? Satisfaite ou remboursée !
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Mon avis :
Ca a été une lecture agréable rapide et très amusante, mais pas tout à fait aussi enthousiasmante que ne me l'avaient laissé espérer les critiques très positives sur les blogs.
Le livre ne sonne pas vraiment comme un roman, mais davantage comme un témoignage avec des tas de détails cocasses qui sentent le vécu. Cela donne un texte truffé d'humour, même si Diane Ducret s'attache avant tout à caricaturer les problèmes de communications entre les deux amoureux, la jeune française ayant toutes les peines du monde à comprendre les expressions très imagées de son Québécois. Le trait est d'ailleurs tellement forcé que j'ai fini par me lasser du gag répétitif du quiproquo langagier...
La romance aussi m'a un peu déçue car on est complètement enfermé dans le point de vue de la jeune femme dont la principale préoccupation ne semble pas forcément être les sentiments. Dans la même veine, le dénouement n'est pas le happy-end typique d'une comédie romantique et cela m'a manqué. Non que la fin proposée par Diane Ducret arrive comme un cheveu sur la soupe (au contraire le dénouement est très logique), mais j'aime tellement les belles histoires d'amour qui se terminent bien...
Voilà pourquoi L’homme idéal... n'a pas été la lecture idéale pour moi même si le récit est très amusant.
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