Pourquoi je le lis :
La quatrième de couverture m'a plu : le roman a l'air à la fois tendre et drôle et les critiques que j'ai lues sont excellentes.
D'ailleurs, un autre roman d'Audur Ava Ólafsdóttir,
, attend dans ma bibliothèque que je prenne le temps de le lire._____
En résumé (quatrième de couverture) :
C'est la belle histoire d'une femme libre et d'un enfant prêté, le temps d'une équipée hivernale autour de l'Islande.
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes.
Avec un
humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous
enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive,
émouvante, entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par
sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les péripéties de la
vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on
se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.
_____
Mon avis :
-
J'ai passé un très bon moment avec L'embellie.
C'est un roman où se mêlent tendresse et fantaisie pour dresser le portrait d'une femme attachante même si elle nous tient à distance et si la plupart des événements semblent lui glisser dessus.
J'ai passé un très bon moment avec L'embellie.
C'est un roman où se mêlent tendresse et fantaisie pour dresser le portrait d'une femme attachante même si elle nous tient à distance et si la plupart des événements semblent lui glisser dessus.
Je
ne sais pas trop pourquoi, mais ce livre me rappelle un peu les romans
de Katarina Mazetti. C'est peut-être à cause du côté farfelu et du fait
que le récit se passe dans des contrées septentrionales que je connais
très mal...
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