Pourquoi je le lis :
De Frédérique Deghelt, j'ai déjà lu et deux romans que j'ai beaucoup aimés. Les brumes de l’apparence me faisait envie depuis longtemps, mais il n'était jamais disponible à la médiathèque (preuve de son succès) : j'ai fini par l'acheter.
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En résumé (quatrième de couverture) :
Quand un notaire de province lui annonce qu'elle hérite d'une masure au milieu de nulle part, Gabrielle (parisienne, quarante ans) s'élance sur les routes de France pour rejoindre l'inattendue propriété et organiser rapidement sa mise en vente.
Un enchevêtrement d'arbres et de ronces à l'abandon, une maison à moitié en ruine, dix hectares traversés par le bruissement d'une rivière, tel est le territoire qu'elle découvre, insensible à la beauté étrange, voire menaçante, du lieu où elle se trouve contrainte de passer la nuit. Elle s'endort sans peur, mais son sommeil est peuplé de rêves, d'odeurs et de présences. Dans les jours qui suivent, les circonstances vont l'obliger à admettre que certains lieux, certaines personnes peuvent entretenir avec l'au-delà une relation particulière. Et qu'elle en fait partie.
Dans ce roman profond et inquiétant, Frédérique Deghelt interroge notre désir d'une autre vie, explore les énigmes de notre perception, dévoile ce qui en nous soudain libère le passage entre la rationalité et l'autre rive.
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Mon avis :
à venir...
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