Pourquoi je le lis :
Les jolies couleurs de la couverture ont attiré mon regard, puis la quatrième de couverture a fini de me convaincre...
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En résumé (quatrième de couverture) :
À Cape Cod, dans le Massachusetts, Hope s’affaire derrière les fourneaux de la pâtisserie familiale. Entre son travail, la rébellion de sa fille adolescente, son récent divorce et ses soucis financiers, elle frôle parfois le surmenage. Hope s’enfonce peu à peu dans la déprime et la résignation. Aussi, quand sa grand-mère Rose lui demande d’aller en France retrouver sa famille disparue pendant la guerre, Hope accepte sans hésiter. Décidée à reprendre sa vie en main, elle s’envole pour Paris en quête de ce passé dont elle ignore tout. Car le temps est compté : atteinte de la maladie d’Alzheimer, la mémoire de Rose faiblit. Pour tout indice, elle a donné à sa petite-fille une simple liste de noms et une adresse.
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Mon avis :
J'ai beaucoup aimé L'heure indigo, même s'il s'agit d'une histoire très triste (j'ai versé une petite larme plus d'une fois tout au long de ma lecture, ce qui n'est pas si fréquent...). Certains aspects du roman m'ont d'ailleurs paru un peu trop mélodramatiques, surtout que côté émotions, on est déjà servi avec la réalité historique. En effet, le roman parle de l'Occupation allemande en France, des violences perpétrées à l'encontre des Juifs (des familles raflées, éclatées, déportées, massacrées...) et du sort des survivants une fois la paix revenue.
Au-delà d'un témoignage des atrocités commises pendant la Seconde Guerre Mondiale, L'heure indigo est également un plaidoyer pour la tolérance religieuse à travers des exemples très émouvants prouvant qu'il n'y a pas tant de différences d'une religion à l'autre.
Mais finalement, ce qui m'a le plus plu dans le roman, c'est l'histoire de Hope qui doit jongler avec des tas de problèmes et se sent prise au piège dans sa propre existence, ne sachant plus à qui faire confiance.
Une belle histoire, profondément triste...
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