Pourquoi je le lis :
Mes parents m'ont offert ce roman pour noël, en 1995. Il se trouvait depuis lors dans ma pal (c'est presque le records dans ma bibliothèque !).
Au moment où on me l'a offert, lire les souvenirs d'un auteur que je ne connaissais que de nom ne m'intéressait pas et cette réticence a perduré... jusqu'à aujourd'hui où je n'ai envie d'aucune autre lecture.
Après avoir enchaîné deux romans pas très gais ( et , deux très beau livres traitant chacun à leur façon de la Seconde Guerre Mondiale), j'avais envie de quelque chose de totalement différent et Sido me semble parfait...
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En résumé (quatrième de couverture) :
Dans la première partie du livre, Colette fait revivre Sido, sa mère tant aimée. Elle nous parle aussi de son père, "le capitaine", second mari de Sido, de sa sœur aînée, "l'étrangère", et de ses deux frères, "les sauvages", de l'amour qui unissait ses parents, et de son enfance heureuse.
Dans la seconde partie, des confidences, des anecdotes, des
dialogues sur tous les thèmes chers à Colette: l'amour, l'indépendance,
la solitude, les souvenirs, les bêtes, la nature composent Les Vrilles
de la vigne.
Avec ce style dru, savoureux, propre à Colette, ces récits,
d'une extraordinaire poésie, sont parmi les plus beaux de notre
littérature.
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Mon avis :
J'avoue que je ne suis pas allée jusqu'au bout du livre : je n'ai pas réussi à m'intéresser à ce que me racontait l'auteur. En effet, même si Colette nous offre une évocation de sa famille pleine de tendresse et de verve, il me manquait une intrigue de forme plus classique (et oui, je suis une adepte des romans, on ne me refera pas...).
Au moins, j'aurai enfin pris le temps de découvrir la plume très travaillée et très imagée de Colette et Sido aura quitté ma pal, après 22 ans d'attente...
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