Pourquoi je le lis :
Il y a un moment que j'avais ce petit roman de 98 pages sur ma liste de livres à lire (une liste de titres à surveiller à la bibliothèque, en librairie, etc qui gonfle encore plus vite que ma pal). J'avais dû lire à l'époque un article qui m'avait intéressée ou quelque chose comme ça.
Alors
voilà : je ne sais plus exactement pourquoi je l'avais mis sur ma liste
(la quatrième de couverture ne me rappelle rien), mais je vais me
rafraichir la mémoire.
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En résumé (quatrième de couverture) :
Florì paraissait plus que ses douze ans, elle semblait plus grande et d’une autre condition, presque une reine. Elle portait une robe d’un rose très pâle, la robe, peut-être, d’une cliente, une robe de première communion. Sur les cheveux, elle avait une petite couronne de romarin. Sur sa poitrine, un foulard rouge faisait ressortir son ineffable blancheur, la blancheur stellaire des De Gourriex. Elle avait dénoué ses cheveux qu’elle avait attachés, au bout, avec un ruban, lui aussi rouge. Elle était donc toute rose, verte de romarin et rouge de foulards, et Cirillo crut voir un être obscur et surhumain. Pendant un moment, il ne lui dit rien. L’enfant se tenait là, près de la porte, tranquille et imperceptiblement souriante, d’un sourire étrange, très étrange et distrait, et le prince, ému, la regardait.
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Mon avis :
Une belle écriture pour ce court roman qui transpire le mystère. J'ai cependant trouvé le texte trop abscons pour qu'il me plaise vraiment.
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