Pourquoi je le lis :
Je me suis fait offrir cette comédie romantique que j'avais envie de lire depuis un moment car la quatrième de couverture me plaisait beaucoup.
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En résumé (quatrième de couverture) :
Les coïncidences n'existent pas ! Aurélie en est convaincue depuis qu'un triste vendredi de novembre, éplorée suite à une rupture, un roman lui a redonné goût à la vie. À sa grande surprise, elle y apparaît, ainsi que son propre restaurant, Le Temps des cerises, un charmant bistrot du 6e arrondissement.
Intriguée, Aurélie tente d'entrer en contact avec
l'auteur (un Anglais réfugié dans son cottage et peu enclin aux
échanges avec le monde extérieur, selon sa maison d'édition) et se
heurte à un mur, de la part notamment d'André, l'éditeur revêche de
cette traduction.
Et pour cause, mis au défi par son patron de trouver
au plus vite un best-seller, André a lui-même écrit Le Sourire des
femmes, faute d'auteur prometteur sous la main. Publié sous pseudo, le
roman a rencontré un succès immense. Mais la ravissante Aurélie, en
dévoilant le pot aux roses, pourrait bien tout compromettre.
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Mon avis :
Cette lecture a été plutôt décevante...
J'espérais une gentille romance, légère et romantique, qui me permettrait de me changer les idées, mais je n'ai pas réussi à penser à autre chose qu'à tous ces petits trucs qui m'agaçaient dans le livre.
Pour commencer, l'intrigue est prévisible (mais c'est le cas de beaucoup de romances après tout) cependant rien ne vient rattraper ça, ni l'originalité des personnages ou des situations, ni l'humour ou le romantisme, etc. Or à aucun moment, je n'ai retenu mon souffle, ni n'ai été pressée de connaître le dénouement.
En plus, j'ai trouvé la plume de Nicolas Barreau assez décevante (la faute à la traduction ?) et il choisit souvent la facilité avec un Paris de carte postale et des personnages principaux sans profondeur, ni nuances, en particulier la jeune femme...
Enfin voilà, ça ne doit pas être un mauvais roman puisque beaucoup l'ont aimé, mais Le sourire des femmes ne m'a pas touchée...
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