Une audacieuse imposture - Catherine MARCH

Pourquoi je le lis :

Irrécupérable ! C'est tout moi... J'ai à nouveau succombé à une offre promotionnelle d'Harlequin : deux livres de la collection Les historiques pour me permettre de découvrir leurs romans.

J'ai beau m'en moquer lorsque je les lis, je ne résiste pas lorsqu'on me les offre...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Londres et Saint-Pétersbourg, 1876.

Si elle avait écouté la voix de la raison, Alexandra Packard n'aurait jamais épousé le major Reid Bowen, le fiancé de sa sœur Georgia ! Certes, elle aurait pu tout lui révéler, au moment de dire « oui », devant l'autel, dissimulée par son voile de mariée. Or, étrangement, aucun mot n'a pu franchir ses lèvres. Pourquoi? Parce qu'elle avait trop peur de dénoncer la folle escapade de Georgia, partie avec un autre ? Ou plutôt par crainte de gâcher son propre rêve - épouser un jour l'un des plus beaux partis de Londres ?

A présent que la nuit de noces approche, sur ce bateau qui les emmène, son mari et elle, vers Saint-Pétersbourg, Alexandra redoute l'instant fatidique où Reid découvrira la supercherie...

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Mon avis :

Ca ne commençait pas si mal pour un roman Harlequin. Les personnages étaient assez vraisemblables malgré d'inévitables clichés.

Et puis l'intrigue s'est emballée, l'auteur a lâché la bride à son imagination et c'est devenu n'importe quoi. Impossible, même en se forçant, de croire que cette histoire ait jamais pu arriver.

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Mensonge d'une nuit d'été - Charlotte MARIN

Pourquoi je le lis :

Suite à une offre promotionnelle, j'avais le droit à un roman gratuit dans la collection Piment chez France Loisirs. Je me suis laissée tentée par cette comédie romantique...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Pour le retour de Charlotte, partie en Inde fuir sa rupture avec Martin, sa sœur organise une fête surprise. Mais la vraie surprise, c'est la présence de son ex-fiancé parmi les invités ! Pour le rendre jaloux, Charlotte prétend être sur le point de se marier. Bientôt la nouvelle se propage... Sa mère et ses amis déjà lancés dans les préparatifs, la jeune fille n'a plus le choix : elle doit se marier, même si elle n'a pas l'ombre d'un fiancé ! Cerise sur la pièce montée, elle est toujours amoureuse de Martin...

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Mon avis :

Coup de fatigue, contrariétés de tous bords,... Hier soir, j'avais besoin de me vider la tête en lisant quelque chose de plus léger que La peur du sage que j'ai en cours.

Je n'ai pas été déçue, pour ce qui est de me vider la tête, car le roman est tout simplement inconsistant.

L'intrigue n'a rien d'originale. Beaucoup de romans partent de l'idée d'une jeune femme qui s'invente un fiancé pour un tas de raisons (bonnes ou mauvaises), et puis l'histoire se complique ensuite... Mais dans Mensonge d'une nuit d'été, l'intrigue n'est pas du tout approfondie. En plus, le texte n'est même pas agréable à lire : les personnages sont un ramassis de clichés et le roman est truffé de mauvais jeu de mots...

Dans le style "mensonges et faux fiancés", j'ai préféré Petites embrouilles et pieux mensonges.

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Chronique du tueur de roi - 2 - La peur du sage - 1° partie - Patrick ROTHFUSS

Pourquoi je le lis :

J'ai lu le premier tome, Le nom du vent, il y a presque deux ans et j'ai trouvé ces deux années à attendre la suite de l'histoire interminables. J'avais adoré le premier livre : le style à la fois dynamique et évocateur m'avait beaucoup plu ainsi que le héros qui avait attisé ma curiosité en confrontant le mythe dont il est l'objet à la réalité des faits.

J'espère que La peur du sage sera à la hauteur de ce début prometteur...

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En résumé (quatrième de couverture) :

J’ai libéré des princesses. J’ai incendié la ville de Trebon. J’ai suivi des pistes au clair de lune que personne n’ose évoquer durant le jour. J’ai conversé avec des dieux, aimé des femmes et écrit des chansons qui font pleurer les ménestrels. Mon nom est Kvothe. Vous avez dû entendre parler de moi. Le jour se lève sur l’auberge de La Pierre levée et l’homme reprend son récit, fidèle à sa promesse.

Suivez ses pas sur la voie qui mène à l’héroïsme et à la déchéance. Découvrez la vérité qui a créé la légende.

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Mon avis :

Patrick Rothfuss nous entraîne avec brio dans son monde où fantaisie et inventivité règnent en maîtres. Il crée tout un univers avec des pays, des peuples, des langues, des coutumes, des légendes, etc qui leur sont propres. Les situations sont variées et le texte grouille de détails sans que le rythme ralentisse. C'est très agréable à lire.

Je peux seulement reprocher à ce roman l'absence de "but à atteindre". Le héros, qui essaye de nous prouver qu'il n'en est pas un justement, va d'aventures en mésaventures sans qu'il y ait de "grande quête" ou de "mission". C'est plus proche de la vraie vie, mais j'ai quand même eu l'impression qu'il manquait quelque chose au récit et il y a des moments où je me suis sentie promenée sans comprendre où l'auteur voulait en venir, même après coup...

Dans le même style, il y a deux passages que j'ai trouvé particulièrement frustrants, l'un parlant d'un procès, l'autre d'un voyage en bateau, Le héros évoque rapidement des péripéties et dit ne pas avoir envie d'en parler alors que cela paraît intéressant, même présenté si succinctement.

J'ai passé un bon moment avec ce livre, mais j'avais préféré le premier tome, Le nom du vent. Peut-être que la seconde partie de La peur du Sage me fera changer d'avis...

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La couleur des sentiments - Kathryn STOCKETT

Pourquoi je le lis :

J'avais très envie de découvrir cette histoire dont on a beaucoup parlé au moment de la sortie du film du même titre. J'attends d'ailleurs d'avoir lu le roman pour regarder le DVD qui patiente sur une étagère...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Jackson, Mississippi, 1962.

Dans quelques mois, Martin Luther King marchera sur Washington pour défendre les droits civiques. Mais dans le Sud, toutes les familles blanches ont encore une bonne noire, qui a le droit de s'occuper des enfants mais pas d'utiliser les toilettes de la maison. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s'apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même.

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Mon avis :

J'ai adoré ce roman. J'ai été complètement happée par l'histoire très forte de La couleur des sentiments.

Le livre parle de ségrégation, de racisme, de violences raciales ; des sujets très difficiles mais dans un style qui exsude la douceur du Sud. Le texte n'est jamais glauque, mais Kathryn Stockett ne ferme pas non plus les yeux sur les réalités de cette période âpre.

Cela m'a rappelé des cours d'Histoire, des films, des faits divers, des choses dont on a tous entendus parler, mais c'est drôlement différents de les percevoir ramenée à cette époque et du point de vue de personnes qui ont subi la ségrégation et tout ce qui allait avec. On s'étonne et on s'indigne que tout le monde laisse faire, et puis un passage ou un autre du roman rappelle les dangers qui pèsent sur tous ceux qui osent essayer de sortir du rang.

La couleur des sentiments, c'est aussi une série de portraits de femmes dans le Mississippi des années 1960 : des blanches, des noires, des bourgeoises, des domestiques, des épouses, des célibataires, des filles, des mères, des femmes de tous âges dans une société où elles sont cantonnées au rôle qui leur est assigné, un peu comme les noirs, d'une certaine façon.

Ces portraits sont très évocateurs, tracés à petites touches amusantes, émouvantes ou agaçantes, autant pour les personnages principaux, que pour les secondaires, y compris les "méchantes".

Je regarderai sûrement le DVD dès ce week-end, en espérant ne pas être trop déçue après le gros coup de cœur qu'a été le roman...

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La belle imparfaite - Cecilia SAMARTIN

Pourquoi je le lis :

Une collègue de bureau m'a prêté ce roman afin que je lui donne mon avis. En effet, La belle imparfaite lui avait été chaudement recommandée par une cousine, mais elle a été plutôt déçue par cette lecture. Alors elle le prête un peu à tout le monde dans son entourage pour avoir d'autres avis.

J'ai accepté de le lire parce que la quatrième de couverture m'a paru intéressante...

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En résumé (quatrième de couverture) :

A la mort de sa mère, Jamilet, une jeune et belle Mexicaine, gagne illégalement les Etats - Unis. Dans l'hospice de Los Angeles où elle trouve un emploi de garde-malade, un vieil homme acariâtre l'oblige à écouter l'histoire de sa vie. Débute un long voyage vers le passé, sur les chemins de Compostelle. C'est là que le senor Peregrino avait rencontré Rosa, l'amour de sa vie. Son éternel remords...

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Mon avis :

J'ai bien aimé ce roman malgré le manque d'enthousiasme de la collègue qui me l'a prêté.

L'histoire est écrite dans un style agréable et elle est très bien construite. On suit avec plaisir les deux récits enchâssés l'un dans l'autre. C'est si bien fait qu'on n'arrive pas à savoir qui est exactement La belle imparfaite du titre, ou si elles ne sont pas deux en fait...

Les personnages sont touchants, chacun à leur manière, avec leurs faiblesses, leurs erreurs, leurs doutes. J'étais d'ailleurs un peu triste de les quitter alors qu'il me manquait encore quelques réponses, mais j'ai appris qu'il y avait une suite à La belle imparfaite : Rosa et son secret, que je me suis empressée de réserver à la bibliothèque (Ouf ! Ils l'avaient en stock !).

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L'éternel - Joann SFAR

Pourquoi je le lis :

Je connaissais Joann Sfar de nom sans avoir lu aucun de ses albums, ni vu ses films. J'ai lu la critique de L'éternel, son premier roman, dans le journal et ça m'a intriguée même si la couverture ne me plaît pas tellement. Je ne l'aurais sans doute pas emprunté à la bibliothèque sans cet article car, en plus, la quatrième de couverture est pour le moins succincte, c'est pourquoi je vous ai mis un résumé trouvé sur internet...

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En résumé :

Pour son malheur, Ionas, violoniste juif ukrainien, doux-rêveur mort au combat en 1917, ressuscite sous la forme d’un vampire. Il n’a qu’une obsession : retrouver sa fiancée Hiéléna, fille d’un luthier d’Odessa. Mais pour "vivre", il doit boire du sang, ce qui le plonge dans des affres de culpabilité. Il passe outre tout ce que sa douceur naturelle lui interdit et, rongé par sa mauvaise conscience, finit par découvrir que son frère Caïn et sa belle ont convolé en justes noces et attendent un enfant… Près d’un siècle et quelques pogroms plus tard, Ionas, qui a élu domicile à New York, essaie de trouver auprès de la très sexy Rebecka Streisand, psychanalyste tout juste veuve d’une célèbre rock star, un recours pour vaincre sa culpabilité et vivre en harmonie avec ses démons.

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Mon avis :

J'ai écrit un peu plus haut que je n'aimais pas tellement la couverture, et bien j'ai encore moins aimé le roman.

Ça a été une grosse déception : l'intrigue est confuse et le style inégal. La première partie m'a semblé sordide et sanguinaire et la seconde absurde et brouillonne.

Je ne sais même pas pourquoi je l'ai lu jusqu'au bout. Peut-être juste pour être certaine de ne pas être passée à côté de ce qui a valu à ce roman plusieurs bonnes critiques dans les journaux. Mais non, rien pour rattraper ma mauvaise impression...

Alors si je devais vous conseiller une histoire de vampires, ce serait plutôt Au cœur des glaces, de Robert MASELLO, qui a écrit un thriller captivant et inquiétant.

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Les filles de l'ouragan - Joyce MAYNARD

Pourquoi je le lis :

Je n'aime pas trop les histoires mélodramatiques et larmoyantes d'échange d'enfants à la naissance. Cependant la quatrième de couverture a piqué ma curiosité, notamment parce qu'elle ne donne pas l'impression que ce roman est un mélo lacrymale.

En plus les critiques sont bonnes...

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En résumé (quatrième de couverture) :

Elles sont nées le même jour, dans le même hôpital, dans des familles on ne peut plus différentes. Ruth est une artiste, une romantique, avec une vie imaginative riche et passionnée. Dana est une scientifique, une réaliste, qui ne croit que ce qu’elle voit, entend ou touche. Et pourtant ces deux femmes si dissemblables se battent de la même manière pour exister dans un monde auquel elles ne se sentent pas vraiment appartenir. Situé dans le New Hampshire rural et raconté alternativement par Ruth et Dana, Les Filles de l’ouragan suit les itinéraires personnels de deux « sœurs de naissance », des années 1950 à aujourd’hui. Avec la virtuosité qu’on lui connaît, Joyce Maynard raconte les voies étranges où s’entrecroisent les vies de ces deux femmes, de l’enfance et l’adolescence à l’âge adulte - les premières amours, la découverte du sexe, le mariage et la maternité, la mort des parents, le divorce, la perte d’un foyer et celle d’un être aimé - et jusqu’au moment inéluctable où un secret longtemps enfoui se révèle et bouleverse leur existence. C’est un roman sur la culture des fraises et la conscription pour le Vietnam ; sur l’élevage des chèvres et les rêves vains de fortune vite gagnée ; sur l’amour de la terre et l’amour d’un père ; sur des individus qui, sans cesser de se chérir, peuvent soudain se blesser profondément. Les Filles de l’ouragan est surtout une histoire sur les liens qui constituent une famille, un foyer, sur la force dévastatrice de l’amour qui s’achève, et l’apaisement qu’apporte le pardon.

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Mon avis :

J'ai bien aimé ce roman qui alterne les points de vue des deux "héroïnes", Dana et Ruth, qui évoquent tour à tour leur enfance, puis leur vie d'adulte, leurs relations avec leurs parents, frères et sœurs, leurs histoires d'amour, etc.

L'échange des bébés à la maternité est très vite sous-entendu même si Dana et Ruth continuent à l'ignorer. Mais l'échange ne suffit pas à "tout" expliquer car, comme on le découvre dans les dernières pages, ce n'est pas LA clef du mystère.

J'ai cependant trouvé le récit un peu trop mélancolique pour être complètement séduite : Joyce Maynard s'attarder davantage sur les moments difficiles et sur les regrets. Cela n'empêche qu'elle a écrit deux beaux portraits de femmes, caractéristiques d'une certaine Amérique.

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Les aventuriers de la mer - tome 9 - Les marches du trône - Robin HOBB

Pourquoi je le lis :

J'ai lu plusieurs romans de Robin Hobb (qui publie aussi sous le pseudonyme de Megan Lindholm), dont Le dieu dans l'ombre et Le cycle de Ki et Vandien.

J'aime son univers que je continue donc à explorer avec le cycle des Aventuriers de la Mer, dont les 9 tomes attendent dans ma bibliothèque depuis un moment.


Pour mémoire :

• 1 - Le vaisseau magique
• 2 - Le navire aux esclaves
• 3 - La conquête de la liberté
• 4 - Brumes et tempêtes
• 5 - Prisons d'eau et de bois
• 6 - L'éveil des eaux dormantes
• 7 - Le seigneur des trois règnes
• 8 - Ombres et flammes
• 9 - Les marches du trône

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En résumé (quatrième de couverture) :

Avec Mère à son bord, Parangon peut enfin retrouver son intégrité perdue, un visage, et peut-être même la vue. Il ne lui en faudra pas moins pour affronter la Vivacia, sur laquelle Kennit règne toujours en maître, au point qu'il fait d'Althéa, la propriétaire légitime de la vivenef, sa prisonnière ! Mais il faut croire que la chance insolente qui a si bien servi le pirate jusqu'ici l'a quitté : la flotte jamaillienne, bien décidée à ne pas le laisser retenir plus longtemps le gouverneur Gosco et Malta en otages, lui fait échec. Tintaglia, le dernier dragon de Clochetinte, toujours à la recherche de cette dernière, vient elle aussi déranger ses plans. Quant aux serpents, il n'auraient pas pu trouver meilleur moment pour le laisser tomber...

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Mon avis :

A peine le huitième tome terminé, je me suis précipitée sur le neuvième et dernier tome, rompant avec le rythme que j'avais jusque là d'alterner Les aventuriers de la mer avec d'autres lectures pour ne pas me lasser. Mais cette fois, je ne pouvais pas attendre davantage pour connaître le dénouement de l'histoire, ou plutôt des histoires...

Et je n'ai pas été déçue : dévorée par la curiosité, j'ai eu du mal à lâcher le roman avant la dernière page.

L'auteur apporte les réponses qui pouvaient nous manquer, éclairant les motivations des uns et des autres. Il y a de l'action, du suspense, de l'émotion... Et si le dénouement est assez prévisible (après tout c'est le cas dans la plupart des livres), Robin Hobb emploie des moyens détournés pour y arriver et nous surprendre.

Robin Hobb prend même le temps d'écrire un épilogue assez long pour nous permettre de savoir ce que deviennent chacun des personnages, y compris les serpents qui ont ouvert la série.

Un seul regret : c'est déjà terminé...

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Les aventuriers de la mer - tome 8 - Ombres et flammes - Robin HOBB

Pourquoi je le lis :

J'ai lu plusieurs romans de Robin Hobb (qui publie aussi sous le pseudonyme de Megan Lindholm), dont Le dieu dans l'ombre et Le cycle de Ki et Vandien.

J'aime son univers que je continue donc à explorer avec le cycle des Aventuriers de la Mer, dont les 9 tomes attendent dans ma bibliothèque depuis un moment.


Pour mémoire :

• 1 - Le vaisseau magique
• 2 - Le navire aux esclaves
• 3 - La conquête de la liberté
• 4 - Brumes et tempêtes
• 5 - Prisons d'eau et de bois
• 6 - L'éveil des eaux dormantes
• 7 - Le seigneur des trois règnes
• 8 - Ombres et flammes
• 9 - Les marches du trône

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En résumé (quatrième de couverture) :

Les choses sont allées trop loin, bien trop loin, pour espérer éviter une bataille ouverte entre la Vivacia, sur laquelle le capitaine Kennit règne sans partage, et le Parangon, le navire fou appareillé par Althéa et les siens. Et tandis que le dragon tient à distance de Terrilville les envahisseurs chalcédiens, des alliances politiques se trament dans l'ombre. Mais impliquer Tintaglia dans la sauvegarde de la ville et dans la recherche de Malta n'est pas sans conséquences, d'autant que cette dernière est maintenant l'otage de pirates pour le moins cupides...

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Mon avis :

J'ai beaucoup aimé ce livre, tout comme les précédents tomes. Le récit se disperse un peu pour suivre les différents protagonistes, mais on est très vite entraîné dans le tourbillon des événements qui se précipitent vers un dénouement qui s'annonce haut en couleurs.

Les dragons et les serpents prennent une place de plus en plus importante dans l'histoire et on en apprend plus sur eux et sur l'influence qu'ils peuvent avoir sur le monde des humains.

Alors que le destin a réuni les principaux personnages sur le bateau du roi des pirates, j'ai pris la mesure de tout le chemin qu'ils avaient parcouru depuis le début de la série. Ils ont vécu des tas de choses, ils ont beaucoup changé, mais le récit est toujours resté très cohérent (autant que c'est possible dans un roman où il est question de dragons ou de navires qui parlent).

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Elle fait les galettes, c'est toute sa vie - Karine FOUGERAY

Pourquoi je le lis :

La Bretagne encore une fois !

Je résiste rarement à un roman qui évoque ma région natale. En plus celui-ci a l'air amusant...

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En résumé (quatrième de couverture) :

" Elle nous nourrit de galettes. C'est sa façon à elle de donner de l'amour. "

C'est la Bretagne avec un bistrot sur la cale, une chapelle en haut de la falaise, une grève à marée basse. Avec ses hommes de mer aimés par des femmes à terre, ses jeunes, ses petites vieilles, ses pêcheurs qui n'en sont pas, ses fillettes qui n'aiment pas naviguer. C'est aussi un stage de voile et des chansons de marins. Et ce sont, surtout, des caractères bien trempés... Une promenade inattendue qui vous laissera sur les lèvres un goût d'embruns et de beurre salé.

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Mon avis :

J'avais mal lu la quatrième de couverture : ce n'est pas un roman, mais un recueil de nouvelles. J'ai néanmoins passé un bon moment car j'ai beaucoup aimé certaines des histoires qui m'ont rappelé des scènes "typiques" de ma chère Bretagne. D'autres nouvelles m'ont laissé de marbre, mais dans l'ensemble, j'ai aimé ce livre...

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